• Сe pays maghrébin dans le top 10 pour les meilleurs plats de poulet, selon TasteAtlas.


    Dans la liste d’une cinquantaine de plats de poulet venant de toutes les parties de la planète, celui de l’Algérie a été classé dans le top 10 par le guide alimentaire TasteAtlas. Parmi les autres États africains mentionnés figurent aussi le Mozambique, le Maroc et l’Éthiopie.
    Le plat Tajine zitoune originaire d’Algérie a été élu huitième meilleur plat de poulet du monde par le guide gastronomique en ligne TasteAtlas, publié le 23 juin.
    Il s’agit d’une spécialité traditionnelle composée de morceaux de poulet, d’olives, d’oignons, de carottes, de champignons, de thym, de laurier et de jus de citron. On y ajoute aussi du safran ou du curcuma. Il est recommandé de le garnir de coriandre et de le servir chaud avec du riz safrané en accompagnement.
    Parmi les autres plats du top 10, il y a des spécialités du Pérou, de Cuba, du Portugal, de la Géorgie, de l’Indonésie, de l’Inde, de la Corée du Sud et de l’Iran.
    Voici les 10 plats les mieux notés d’après TasteAtlas:
    1.
    Jujeh kabab (Iran)
    2.
    Dak Galbi (Chuncheon, Corée du Sud)
    3.
    Le poulet au beurre (Murgh makhani) (Delhi, Inde)
    4.
    Tikka (Punjab, Inde)
    5.
    Ayam goreng (Indonésie)
    6.
    Le poulet de tabac (Tsitsila tabaka) (Géorgie)
    7.
    Frango assado com piri piri (Algarve, Portugal)
    8.
    Tajune zitoune (Algérie)
    9.
    Fricasé de pollo (Cuba)
    10.
    Pollo a la brasa (Pérou)
     
    Parmi les 50 États se trouvent trois autres pays africains. Il s’agit du Mozambique, qui se positionne à la 12e place avec son plat Peri Peri Chicken. Il est fait à base de poulet, mariné dans du cumin, de l’ail, du paprika, du jus de citron avec l’ajout de piment œil d'oiseau. Il est souvent servi avec une sauce à la noix de coco crémeuse et épicée.
    Le Maroc est pour sa part 44ème avec le Chicken Tajine. Cette spécialité s’obtient avec du poulet mêlé à divers légumes tels que des oignons, des carottes, des tomates ou des pommes de terre. Le tout est généralement assaisonné de cumin, de safran, de persil ou de coriandre.
    L’Éthiopie clôt le top 50, selon le site de cuisine. Elle y est représentée par le plat Doro wat, préparé à base de poulet, de sel, de jus de citron, de gingembre, d’ail et d’œufs durs.
    Aimez-vous le poulet?
     
    https://fr.sputniknews.africa/20230625/e-pays-maghrebin-dans-le-top-10-pour-les-meilleurs-plats-de-poulet-selon-tasteatlas-1060152398.html

     

     


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  • À près de 2 000 mètres d'altitude, des voitures dans un sale état croupissent par dizaines sur la route reliant Toulouse au Pas de la Case, en Andorre. On vous explique pourquoi.

    Dans un décor de carte postale, au cœur du massif des Pyrénées, elles font presque partie du paysage… Et elles détonnent. Pare-chocs désossés, rétros déglingués, vitres cassées…

     

    Des dizaines de voitures en piteux état semblent stationnées à demeure, à la frontière entre la France et l’Andorre, au pied du Pas-de-la-Case, côté principauté. Nombre d’entre elles sont immatriculées 31. Et à l’intérieur, il y a dégun.

    Des promeneurs en goguette ? Des chasseurs en conquête ? Des amateurs de champignons en cueillette ? Rien d’aussi champêtre, plutôt des automobilistes friands d’un tout autre marché, bien plus juteux. Celui des trafics de drogue et autres cigarettes… ayant transité par le temple du commerce détaxé à ciel ouvert ! Tant de marchandises destinées à alimenter le marché parallèle à Toulouse et dans la région.

    Aux confins de trois pays, les trafiquants sont en effet nombreux à tenter de se frayer un chemin, et de flouer les douaniers… « Il s’agit pour beaucoup de voitures de fraudeurs qui ont été saisies », souffle Bruno Parissier, chef du pôle d’action économique à la Direction régionale des douanes de Perpignan. « Le code des douanes permet en effet la saisie d’argent, de marchandises, mais aussi des moyens de transport qui servent à masquer la fraude », appuie Philippe Meslies-Latapie, son homologue à la Direction régionale de Toulouse.

     

    Peuvent être ainsi saisis les véhicules des auteurs d’infraction, mais aussi de délits douaniers conséquents, ou dès lors qu’il y a de la marchandise dissimulée…

    « Il s’agit souvent de véhicules saisis, mais aussi parfois abandonnés par les trafiquants eux-mêmes », poursuit Philippe Meslies-Latapie. « Certains partent avec des voitures vétustes de l’agglomération toulousaine et les abandonnent à la frontière ». À la vue des douaniers, prennent-ils leurs jambes à leur cou, délaissant leurs carrosses pour se frayer un chemin chez des complices, voire finir à pied ?

    Autre cas de figure, étaye Bruno Parissier : « Si un infracteur ne peut pas payer l’amende, ni les droits de douane, le véhicule peut également être saisi ».

    Résultat des courses : d’après une source interne, au cœur des Pyrénées, à moins de 2 heures de Toulouse, les services des douanes croulent sous les véhicules à stocker ! Les saisies ne se font pourtant pas à tout bout de champ, mais d’après Bruno Parissier, au gré « des circonstances et de la valeur » de l’infraction comme des véhicules. Car les douaniers ne vont pas chercher à saisir les voitures les moins cotées…

    Quant à savoir pourquoi ces véhicules ne bougent pas pendant des mois… Si les douaniers retrouvent des marchandises illicites à bord de véhicules ayant servi à des délits ou infractions graves, les auteurs sont poursuivis en justice, et généralement condamnés à des peines de prison.

    En attendant qu’ils soient jugés, ou qu’ils tuent le temps derrière les barreaux, leurs montures d’un jour ou de toujours crépissent à la frontière du plus haut poste douanier de France, à quelque 1 943 mètres d’altitude. Et à leur sortie de la maison d’arrêt, ils ne se bousculent généralement pas pour venir les récupérer !

    https://actu.fr/faits-divers/pourquoi-des-dizaines-de-voitures-sont-a-l-abandon-a-la-frontiere-avec-l-andorre_59712307.html

     

     

     

     


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  • Initialement programmée pour 2035, la fin des moteurs thermiques en Europe a été remise en question à la dernière minute le 10 mars dernier. À la surprise générale, l’Allemagne et trois autres Etats membres s’étaient opposés à la validation du texte de loi. Après un bras de fer de plus d’un mois, un accord a enfin été trouvé entre les Etats favorables au texte et ses opposants. Explications.

    Tout semblait parfaitement ficelé. Le 14 février 2023, après plusieurs mois de négociations, le Parlement européen et les Etats membres de l’UE avaient validé la loi concernant l’interdiction des ventes de voitures thermiques à compter de 2035. Pour être définitivement adopté, le texte n’avait plus qu’à passer l’étape du conseil de l’Union Européenne. Pour beaucoup, il s’agissait d’une simple formalité.

    Le 10 mars, rien ne s’est finalement déroulé comme prévu. Alors que, jusque-là, seules l’Italie, la Pologne et la Bulgarie s’opposaient au vote, l’Allemagne a créé la surprise en prenant la tête de l’opposition. Sa volonté de revenir sur les modalités concernant la fin des moteurs thermiques avait alors empêché la loi de passer en l’état.

    Après un mois de fronde, un accord a été trouvé entre les Etats membres opposés au texte initial et la Commission Européenne. Finalement, la production des voitures thermiques prendra bien fin en 2035 en Europe. Toutefois, l’UE a accepté la condition de l’Allemagne concernant l’utilisation des carburants synthétiques. 

    De fait, l’Allemagne avait bloqué le projet de loi non pas pour revenir entièrement sur l’interdiction en elle-même, mais pour faire accepter quelques aménagements qu’elle considérait comme essentiels. Parmi ces conditions figurait la possibilité d’utiliser des carburants de synthèse pour alimenter les moteurs thermiques (diesel et essence), au-delà de 2035. La Commission européenne a récemment accepté cette requête, qui devrait être intégrée au nouveau texte de loi. Toutefois, rien n’est encore définitivement acté à ce jour, car les conditions d’utilisation des carburants synthétiques (aussi nommés e-fuel) doivent encore être négociées.

    Comme prévu avant le vote surprise de l’Allemagne, la loi va bien interdire la vente des voitures thermiques en 2035. Pour l’instant toutefois, l’interdiction ne concernerait que les voitures utilisant des carburants traditionnels. Les voitures fonctionnant avec des carburants de synthèse (produits à partir d’une synthèse de carbone et d’hydrogène vert, et fabriqués avec de l’électricité bas carbone pour produire du méthanol), pourtant toujours très controversés, devraient pouvoir encore être produites et vendues. Cependant, en raison de leur coût de production très élevé, les carburants synthétiques ne seront probablement utilisés que pour une petite quantité de voitures de luxe.  

    La fin des moteurs thermiques semble donc inévitable. D’ailleurs, la plupart des constructeurs européens ont déjà fortement investi dans la production de voitures électriques. Audi, par exemple, a affirmé que le groupe « achèverait la transition des moteurs à combustion vers l’électrique en 2033 », soit deux ans avant la date butoir. Renault avait quant à lui récemment indiqué qu’aucune décision prise dans les prochains mois ne pourrait désormais changer la change, l’électrisation étant déjà bien avancée.

    Vers la fin des mteurs thermiques?

      https://www.moncoyote.com/blog/automobile/actualites-automobile/vers-la-fin-des-moteurs-thermiques-chapitre-2/?utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=nlmai2023_Churners_APP_G_B_Decouverte_APP&utm_content=NL


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  • https://surprise.ly/v/?ka-ZgwCXKho:0:0:0:100

     

    Je vous emmène à Venise

      

    Mais c'est pas Venise, çà...


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  • http://clochers.org/carte_accueil_active.htm

     

    On peut voir n'importe quel clocher d'église de tous les départements de France. 1 clic sur le département, un autre sur la commune et 2 clics sur les photos pour les agrandir.


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  • Un auvergnat nous a quitté...


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  • Sonatrach a attribué un contrat pour la construction d'un complexe pétrochimique dans l'ouest de l'Algérie au consortium sino-britannique Petrofac-HQC. Initialement, le projet devait être réalisé en partenariat avec TotalEnergies. Celui-ci prétexte une hausse du coût de la réalisation.
    La compagnie énergétique publique algérienne Sonatrach a annoncé, le 18 mai, l’attribution, via sa filiale Step Polymers, d’un contrat pour la réalisation d’une usine de polypropylène à Oran au consortium sino-britannique Petrofac-HQC. La construction de ce projet pétrochimique se fera dans la zone industrielle d'Arzew, à l'ouest d'Alger, a annoncé son communiqué.
    Il sera destiné à produire 550.000 tonnes par an de polypropylène pour un montant de 1,5 milliard de dollars dans l’une des plus importantes zones industrielles pétrolières d'Algérie. STEP Polymers Spa est une filiale à part entière de Sonatrach Spa. Il s'agit d'un contrat d’ingénierie pétrochimique, d’approvisionnement et de construction (EPC).
    Petrofac a obtenu plusieurs contrats en Algérie ces dernières années. Le 29 septembre 2022, le groupe Sonatrach a annoncé avoir attribué deux contrats à des groupements composés de Petrofac, d’un montant total de 500 millions de dollars, rappelle l'agence turque Anadolu.
    L’annonce du lancement de ce projet remonte à 2018. Il devait initialement être réalisé en partenariat entre TotalEnergies et Sonatrach, mais le géant énergétique français s’est retiré au profit du groupe pétrolier public algérien, note le média algérien TSA. Sonatrach n'a pas donné les raisons du retard du projet.
    De son côté, le géant énergétique français a ainsi expliqué son retrait du projet à TSA:
    "À la suite de l’augmentation des coûts du projet, TotalEnergies a convenu avec Sonatrach de lui céder ses participations dans la joint-venture STEP, codétenue par Sonatrach (51%) et TotalEnergies (49%), laissant ainsi à Sonatrach l’initiative de lancer le développement du projet".
    TotalEnergies assure cependant que même après son retrait, il met à la disposition de Sonatrach son "expertise technique dans l’exécution du projet ainsi que ses compétences commerciales dans le marketing des polymères sur le marché européen", cite encore TSA.

     


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  • Je trouve qu'en drone, c'est vachement moins fatigant qu'à pied...


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  • Commentaire de Ronald Guillaumont, retraité de la Gendarmerie Nationale : Après plus de 30 ans au sein des Forces de l’ordre en tant que Gendarme, je suis choqué par le comportement de cet individu que je ne peux nommer « camarade » ou « frère d’Arme ».

    De mon temps (oui je suis un vieux con !) ce genre de comportement aurait été immédiatement sanctionné.

    « Il se prend un pavé », je ne le plaint pas, il l’a bien cherché.

    Ce genre d’individu ne respecte pas « Mon uniforme », celui que j’ai porté pendant toute une carrière…

    Il est bien dommage qu’une « Minorité » d’individus ayant endossé cet uniforme, que beaucoup de ma génération ont porté avec fierté, puisse ainsi salir ce beau métier que nous avons exercé au service du public et des Citoyens, souvent au risque de nos vies, et oublie si facilement le serment fait en début de carrière.

    Camarades et Collègues, allez vous laisser cette minorité briser et casser « Ce Pourquoi » vous vous êtes engagés ??

     


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