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Un beau coup à plusieurs bandes
Dissolution : un beau coup !
Les éditorialistes dissertent sur la dissolution et ses conséquences en privilégiant le jeu des partis et des leaders de ces derniers. Et en imaginant leurs conséquences sur la vie politique de demain.
Nous prendrons la question en partant d’E. Macron. On se gardera bien de s’interroger sur ce qu’il y a dans le cerveau d’E. Macron. Ce qui relève probablement de spécialistes des sciences humaines, psychologiques, médicales, sociologiques. Mais quand on prend une décision (ici la dissolution de l’Assemblée nationale), on évalue nécessairement les conséquences sur soi de cette dernière. D’où notre démarche.
Si l’on s’en tient aux conditions de l’ascension politique de E. Macron, les faits enseignent qu’il a été choisi (et aidé notamment par leurs médias) par des membres de cercles économiques et financiers et de réseaux favorables aux intérêts américains. Lesquels ont nécessairement pensé qu’une fois devenu président de la République avec leur soutien actif, - que ce dernier a su provoquer (par la force des choses d’ailleurs) (1) - , E. Macron leur apporterait des satisfactions. Sans quoi ils ne l’auraient évidemment pas fait.
Et voilà, si l’on s’en tient aux faits, perceptibles par chacun, dont par E. Macron en premier lieu, que le résultat des élections pour les « élections européennes » constitue une sorte de condamnation de l’individu et de la politique menée par lui. Donc un signe de faiblesse personnelle. Que la démission du gouvernement aurait été incapable d’endosser et d’effacer.
Tout être humain pense nécessairement (et légitimement) à lui et à son avenir. Et, pour E. Macron, passés les trois ans « qui lui restent à faire », en continuant à être contesté à l’intérieur, et à être parfois moqué à l’extérieur, ne peut logiquement pas alimenter le cas échéant un bon acte de candidature à un bon job à la sortie de l’Elysée.
Evidemment, E. Macron, prenant acte du désaveu matérialisé par les résultats du 9 juin, aurait pu démissionner. En estimant qu’il ne pouvait plus représenter légitimement le peuple français. Mais, comme il vient d’être dit, et si les faits ont une signification, ce n’est pas la question.
D’où la dissolution.
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/dissolution-un-beau-coup
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Commentaires
Et là il vient de tout comprendre !!
Nous aussi, alors qu' il dégage !
Passe une bonne fin de semaine
Amitié
... et si c'était bien calculé...? étrange de faire passer les élections européennes au niveau de présidentielles... étonnant, non ?
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on a bien compris que narcisse avait eu sa petite réaction épidermique, sans même réfléchir, comme le petit morveux qu' il est !
Ses ex. ministres et députés ont ils compris qu' il se foutait d' eux aussi, peut être, mais la place est bonne !
Alain Bauer dit que les Jo sont une folie, l' extrême gauche va jouer du chaos, et Néron va être aux anges
Bonne journée
Amitié