• Une nouvelle taxe dans le monde du livre : les livres d’occasion dans le radar du président.

    Dans un monde où l’accent est pris de privilégier l’accès à la culture pour tous, le président de la République, Emmanuel Macron, annonce avec aplomb au Festival du Livre de Paris, le 12 avril, qu’il serait pertinent de taxer les livres d’occasion. Moyen d'accéder à la lecture à prix réduit et levier écologique du livre, une taxe de 3% sur ces ouvrages arrive comme un cheveu sur la soupe.  

    Tandis que différentes initiatives pour inciter à la lecture voient le jour - nous pouvons aborder le Quart d’heure lecture- et que quelques heures avant cette annonce, un appel est fait à « relancer très fortement l'initiative pour la lecture » dans l’objectif de devenir un « rituel quotidien pour les jeunes », le chef de l’Etat coupe l’herbe sous le pied à toute tentative de payer moins cher. Les livres d’occasion auraient vocation, selon ce dernier, à souffrir d’une taxation de 3%.  

    Une manne dont profitaient pourtant de nombreux étudiants, pour ne mentionner qu’eux, afin d'acquérir des livres à moindre coût lorsque les moyens sont limités. Ce marché représente 350 millions d’euros à l’année en France, avec une croissance de 30% ces cinq dernières années. Une augmentation qui ne pouvait qu’alerter le gouvernement sur de possibles bénéfices à tirer de cette économie circulaire. Cette demande serait une requête du Syndicat national de l’édition (SNE). Son annonce surprend cependant : pourquoi celle-ci est faite par l’entremise du président Emmanuel Macron, et non de sa ministre de la Culture ?  

    Le président affirme sa décision ainsi. « On va mettre en place au moins une contribution qui puisse permettre de protéger le prix unique et permettre à nos auteurs, éditeurs et traducteurs aussi d’être mieux aidés ».  

    Les voix s’élèvent, comme avec le sociologue Vincent Chabault, qui affirme que cette taxe ne permettrait pas l’effet escompté. En effet, son impact « serait quasi nul, du moins la taxe ne réorienterait pas les comportements d'achat vers le marché du neuf. »

    Si cela ne réoriente pas vers le neuf, ce que le président affirme là, et qui reste tout de même une idée curieuse au jour où l’on pousse a contrario à une consommation raisonnée, alors quel intérêt si ce n’est récupérer de l’argent là où l’on peut ponctionner ?  

    Du côté des libraires aussi, la mesure interroge. N’oublions pas que ces derniers se sont adaptés à ce marché en intégrant pour beaucoup l’occasion dans leur boutique ou sur leur site internet. Abraxas-Libris confie que « Nous sommes déjà écrasés par les taxes, une de plus, ça fait beaucoup. » 

    Se renouveler dans le marché du livre et en vivre serait une voie sans issue, des taxes venant continuellement se superposer : le résultat de tâtonnements politiques dans l’espoir de conserver cette exception culturelle. 

    Encore une décision soudaine où tout un chacun se prépare aux nouvelles adaptations que cela présuppose, en essayant de tirer son épingle du jeu pour ne pas subir les pots cassés. 

    https://www.francesoir.fr/societe-economie/une-nouvelle-taxe-dans-le-monde-du-livre-les-livres-d-occasion-dans-le-radar-du

     

     

     


    1 commentaire
  • La République autoproclamée de Transnistrie, voisine de l'Ukraine, a demandé à Moscou de l'aider dans son combat contre le blocus économique imposé par la Moldavie. Voici ce que l'on sait de cette entité.
    Ce que l’on sait de la Transnistrie, une république autoproclamée sur le territoire moldave: Faits et chiffres
     
    ️La Transnistrie, avec Tiraspol comme capitale, correspond à une étroite bande de terre située entre le fleuve Dniestr et la frontière ukrainienne.
     
    La superficie totale de la Transnistrie est de 4 163 km², avec une population d'environ 465 000 habitants.
     
    La république autoproclamée a une population majoritairement russophone. Les autres langues utilisées sont le roumain et l'ukrainien.
     
    Elle a sa propre constitution, son parlement, son drapeau et son hymne, ainsi que sa propre monnaie, le rouble transnistrien (rubla).
     
    La Transnistrie
      
    La Transnistrie, dont 60% de la population ethnique est composée de Russes et d'Ukrainiens, cherchait à se séparer de la Moldavie depuis la chute de l’URSS.
     
    Une loi de 1989, qui a proclamé le moldave comme langue officielle, a ajouté à la tension.
     
    La région s’est séparée de la République soviétique de Moldavie en 1990.
     
    La sécession a conduit à un conflit armé, les forces paramilitaires du territoire prenant le contrôle des institutions publiques en 1991.
     
    La Moldavie ne parvenant pas à résoudre le conflit par la force, un cessez-le-feu a été signé en juillet 1992 et une zone de sécurité démilitarisée a été établie.
     
    Le règlement a été imposé par les troupes russes stationnées sur le territoire.
     
    ️En 1992, la Transnistrie est devenue un territoire échappant de facto au contrôle de la capitale moldave Chisinau.
     
    Le conflit n'est toujours pas résolu. La paix dans la région est maintenue par une force conjointe de maintien de la paix composée de militaires russes, transnistriens et moldaves.

     


    2 commentaires
  • Ils refusent (le camp de concentration) d’aller en EHPAD…» De fait, quel est le problème ? une population qui vieillit, certes, mais avec des moyens en chute libre.

    Oublié le temps où une petite retraite suffisait. Les tarifs sont démentiels, le chômage est important, malgré tout ce qu’il se dit, et quoi de mieux que de garder, à la grec, les anciens ?

    De plus, les aides à domicile sont nettement moins coûteuses pour la collectivité que les EHPAD.

    De fait, les tarifs des établissements de luxe et malveillants sont devenus dissuasifs pour des mauvais traitements et 50 euros de nourriture par mois.

    De fait, comme dans le cas de Cajino, les pensionnaires paient surtout la bulle d’endettement de ces établissements, les rachats par la dette, et le fait, que tout bonnement, les arbres ne montent pas jusqu’au ciel. L’espérance de vie plafonne et décroit, donc le phénomène «EHPAD» a atteint hier son maximum et devra gérer son déclin.

    De fait aussi, avoir nettoyé les EHPAD à grands coups de rivotril, ça c’est su, et en plus, ça a crée quand même des vides, et les délais d’attente sont comme dans les HLM, nettement surestimés. Le temps que les bureaucraties percutent, les demandes de logements ont été satisfaites ailleurs (ça a été mon cas pour 4 ou 5 demandes, les assistantes sociales me contactant bien des mois après ma demande, dans des villes où les HLM sont loin d’être saturés). Commissions, sous commissions, etc… Par contre, j’ai aussi l’expérience où les dits hlm il suffisait d’entrer dans l’agence pour avoir, de suite, les clefs.

    Donc, l’occupation des EHPAD a chuté de 93% à 88% de 2019 à 2023. Bon, on peut se poser la question de savoir, puisque ces établissements n’ont jamais été pleins, pourquoi on parle de délais aussi longs (coûts ?) et qu’ils chutent ?

    N’assisterait on pas, là aussi, à un Ponzi financier où on chante à des connards «Zinvestisseurs», les besoins «croissants», dus à des espérances de vies «en hausse» (faux) ? Mécaniquement, après le nettoyage à grands coups de rivotril, l’espérance de vie peut augmenter. Les taux observés l’année suivante, sont forcément meilleurs. Les plus faibles ont été éliminés. Ceux restants sont, mécaniquement aussi, en meilleur santé, donc, n’ont pas forcément besoin d’EHPAD.

    On devrait d’ailleurs, prévoir une entrée précoce en EHPAD, pour un certain Manu «M», agité du citron, bien connu pour une colique verbale irrépressible et sans aucun sens. Il veut nous pondre une loin, pour vider encore plus les EHPAD. Moi, je suis d’accord, à condition qu’il nous montre le chemin et essaie la loi d’abord.

    De plus, certains anciens (ou vétérans) ont peut-être compris (avec leur famille) que l’EHPAD était le meilleur moyen de les dévaliser.

    Là aussi, on assiste pleinement à la malfaisance de la loi du 3 janvier 1973, dont l’abolition permettrait de les construire, sans recourir à l’endettement et sans faire flamber les tarifs. De fait, tous nos prix sont majorés par le coût de l’endettement en cascade, de 50%.

    EHPAD

     

    https://reseauinternational.net/ehpad/


    2 commentaires
  • Personne ne connait Marczak, c’était un général polonais. Il est mort naturellement, nous dit-on. Il est vrai qu’il est naturel de mourir quand on se reçoit un Iskander sur la tronche, en Ukraine.

    Ce qui ne serait pas naturel, c’est d’y survivre.

    On peut penser que d’autres morts, d’autres généraux, dont des français, sont sur le même registre de «mort naturelle» ou «accidentelle». Ces généraux courtisans plus courtisans que généraux d’ailleurs, étaient plus à l’aise à Bruxelles, Paris ou tout autre lieu, surtout dans les salons, que sur le champ de bataille.

    Au début de l’opération militaire spéciale, nos médias faisaient des gorges chaudes des pertes des gradés russes, au front. Finalement, les pertes occis-dentales, désormais, doivent s’en rapprocher sinon les dépasser, mais ils n’ont même pas pour eux, un soupçon de bravoure et de courage, ces décès ayant eu lieu à l’hôtel ou dans des bunkers trrrrèèèès à l’arrière du front. Les gradés russes, eux, ont une certaine tendance à mourir au front. Je dis ça comme ça.

    Les paires de couilles se perdent en occis-dent. Les gradés français, ce sont ceux d’Uzbin et de Carcassonne, avec de grands coups de balais à donner, envers une flopée d’incompétents patentés. Pour Uzbin, la seule sanction, ça a été de ne pas donner des avancements à des officiers «prometteurs». (Lire, très bons lécheurs de couilles et de culs). Bigeard était ce qu’il était, très contestable, peut-être, mais il avait sauté au milieu de ses hommes. Bref, c’est la couillemollisation généralisée.

    C’est la dérive générale, du «pas de vagues», ou saquer celui par celui par qui le scandale arrive.

    Un jour, Louis XV promut 7 maréchaux de France. Ils étaient tellement éloignés de la chose militaire depuis si longtemps, en plus d’être totalement incompétents, que l’opinion publique les baptisa les «7 péchés capitaux». Orgueil, avarice, jalousie, colère, luxure, gourmandise, paresse… Visiblement, ils connaissaient déjà «renaissance» et Macron.

    C’est aussi, «En 30 ans, l’Union européenne est passée d’espoir à échec sans jamais avoir été une puissance». Tout, en Europe occis-dentale, comme aux USA, est passé par le signe de l’échec et de l’incompétence. Un bon militaire est récompensé par une carrière, pas pour avoir baroudé, beeeuuuh, c’est sale !

    Pour ceux qu’aurait pas compris, l’UE n’est qu’un avatar US, une copie.

    Il est de notoriété publique que depuis très longtemps, les armes US, c’est très souvent de la merde, mais produites en grandes quantités, opérant sous un déluge de feu, avec une maitrise aérienne totale.

    Le problème, c’est que si de bonnes armes existent, les mauvaises sont les plus nombreuses (elles ne sont là que pour corrompre les politiques et enrichir le complexe militaro industriel), le déluge de feu, il faut une industrie pour l’avoir (chose devenue riquiqui sinon défunte), et la maitrise aérienne devient problématique, surtout avec la Russie. Pour compenser sa merde de F35, les USA se doivent de continuer à produire les vieux F16, vieux de 50 ans. Pour les autres avions qui pourraient être utiles, c’est trop tard, les capacités n’existent plus, seule la cannibalisation permet à une flotte réduite de continuer à exister…

    Mort de Marczak

     L’occident, c’est comme ce petit chien. Son ancêtre, c’était un loup. Aujourd’hui, voilà ce qu’il est, bien qu’il voudrait qu’on l’appelle «féroce».

    source : La Chute

     

     


    2 commentaires
  • La guerre est une chose trop sérieuse pour la confier à Emmanuel Macron.

    Emmanuel Macron a donc décidé de prendre la tête d’une croisade contre la Russie. Il est difficile de bien identifier la motivation principale. La première qui vient à l’esprit est bien évidemment le narcissisme puéril qui habite ce personnage, et dont on a mesuré le caractère vertigineux dès les premiers jours de son avènement à la suite d’un coup d’état judiciaire. Mais probablement aussi un calcul politicien pour évacuer l’impact de la catastrophe médiatique de sa pantalonnade au salon de l’agriculture. Voire, sachant qu’il les exécute immédiatement, un ordre venu de Washington de prendre le relais en Ukraine d’une Amérique qui semble vouloir se consacrer à autre chose. Peut-être un mélange de tout cela, mais ce qui est sûr c’est que Macron, fidèle à lui-même et armé de ses différentes incompétences, fait une nouvelle démonstration de son irresponsabilité, et de son incapacité à diriger la France de façon rationnelle.

    Il a donc dit à ses interlocuteurs, avant de le faire confirmer officiellement, « que vis-à-vis de la Russie, la France ne s’interdisait aucune ligne rouge ». Sachant que notre pays est une puissance nucléaire, c’est donc un avertissement donné à la Russie. Que si nous envoyons nos 15 000 hommes disponibles, dotés d’environ huit jours de munitions, occuper une trentaine de kilomètres d’un front qui en fait 1200, et que ça se passe mal, gare. Parce que nous aussi, nous pouvons vitrifier les moujiks.

    À une panoplie de défauts particulièrement fournie, Emmanuel Macron ajoute semble-t-il une incapacité à évaluer les ordres de grandeur et à comprendre des choses simples comme la règle de trois.

     Le voilà qui toise la Russie du haut de nos 300 missiles nucléaires dont la dernière tête fut fabriquée en 1996 après l’essai nucléaire nommé Xouthos, qui a eu lieu en Polynésie française sur ordre de Jacques Chirac. Le dernier missile nucléaire français fabriqué était le missile Hadès. Il a été démantelé le 23 juin 1997. Depuis nous n’avons plus de missile sol-sol, et peu de vecteurs mer-sol.

     Il ne nous reste presque plus que des missiles air-sol dont nous avons testé avec succès un missile nucléaire modernisé de type ASMPA (air-sol moyenne portée) en 2022. L’ancienne version de ce missile, qui fait partie de la composante aérienne de la dissuasion française, est en service depuis 2009 et sera remplacée vers 2035 (!).

    En 2025, nous devrions aussi être livrés du missile mer-sol M51.3 de riposte pour équiper les sous-marins français.

    La puissance de nos missiles est d’environs 300kt et ils volent à la vitesse supersonique de mach 3 avec une portée maximale de 500km, ce qui impose à nos avions d’entrer profondément sur le territoire russe pour espérer atteindre Moscou. En clair, une frappe nucléaire française détruirait tout sur un rayon de 5 000m et ferait de gros dégâts sur un rayon de 15km.

    De leur côté, les Russes disposent de plusieurs missiles antimissiles hypersoniques, donc proportionnellement 5 à 10 fois plus rapides. Par exemple le S-500 Prometeï intercepte à une vitesse hypersonique de mach 20 tout missile volant même à une altitude de 200km (soit 10 fois plus haut que le plafond de nos missiles). 

    En ce qui concerne la capacité de riposte des missiles russes, examinons les ordres de grandeur d’un seul d’entre eux et qui n’est pas le plus puissant : l’ICBM RS-28 Sarmat (SATAN 2).

    Tout d’abord les Sarmat sont déployés sur toute la Russie et certains sont équipés de détecteur de radiation et programmés pour décoller automatiquement en cas de détection d’une frappe nucléaire ennemie sur sol russe.

    – Le Sarmat est hypersonique et vole à mach 21 (25900 km/h)

    – Il atteindrait Paris en 2 minutes et New York en 18 minutes

    – Un seul Sarmat est doté d’une ogive nucléaire à fragmentation qui transporte 10 ogives individuelles qui raseraient une zone de frappe d’environs 650 000km², ce qui est comparable à l’ensemble du territoire français.

    Bref, en lançant sur la Russie toutes nos têtes nucléaires disponibles et à supposer que la Russie n’en intercepte aucune, alors qu’il est plus probable que toutes seraient interceptées, nous détruirions tout au plus quelques centaines de km² Russes. Inversement sur les 8000 têtes russes, un Sarmat seul, qui est à ce jour n’est pas susceptible d’être intercepté, raserait toute la France d’un coup.

    Par conséquent, le moment n’est pas aux rodomontades, aux coups de menton, aux déclarations à l’emporte-pièce qui sont autant de sottises.

    Décidément, la guerre, nucléaire ou pas, est une chose trop sérieuse pour la confier à Emmanuel Macron.

    La guerre est une chose....

     

     


    2 commentaires
  • QUAND ON PARLE DE DICTATURE, LA FRANCE DEVRAIT BALAYER DEVANT SA PORTE.

     


    2 commentaires
  • 400 vmillions d'€ pour l'Agriculture française

     

    400 vmillions d'€ pour l'Agriculture française

     

    400 vmillions d'€ pour l'Agriculture française

     

     Déshabiller Pierre pour habiller Paul (dicton macronien).

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


    2 commentaires
  • Le matamore qui fait fonction de président, tout en étant un petit freluquet, doublé d’un roquet, veut donc envoyer OFFICIELLEMENT des troupes en Ukraine ?

    Le cri, dans les chancelleries occis-dentales a été unanime : «Il est con ou quoi ?». Tout le monde essaye de se tirer de ce merdier puant, sans – trop – perdre la face.

    On avait parlé de retraite à Kherson, de fait, l’armée russe s’était retirée en très bon ordre, sans être poursuivie, et n’était donc pas vaincue, mais a adopté une position simplement moins risquée et moins susceptible de créer un revers, dont acte. Des éléments ukrainiens se sont infiltrés sur l’autre rive où ils se faisaient massacrer consciencieusement et en détail, comme dans le cas de la contre-offensive.

    À Avdiivka, rien de comparable, le sauve qui peut généralisé, et perte d’un millier d’hommes, souvent blessés et qui ne demandaient qu’à se rendre.

    La Russie est dans une offensive lente, économe en hommes, selon le schéma «Pétain 1917», des offensives limitées, mais à gros moyens, et en 1917, les pertes allemandes à la seconde bataille de Verdun, et à celle de la Malmaison (étendue au chemin des Dames, si funeste quelques mois plus tôt), furent 5 fois plus nombreuses… Là, on peut penser à un coefficient 10.

    Malgré toutes les salades, conneries et contrevérités de LCI, non, les Russes ne sacrifient pas des hommes devenus rares, mais des munitions en quantités. Et les reconnaissances, un drone à 5000 $ ou même à 200, peut avantageusement remplacer les hommes, ça ne coûte rien. Simple variante, si le drone est descendu, tu écrases tout sous les obus. Pas besoin de pertes humaines, sur LCI ils confondent l’OMS et la Seconde Guerre mondiale. Des gens sans aucune culture…

    De fait que veut faire le freluquet ? Envoyer des obus ? À la cadence de 3000 par mois. Lol. Ou finir de vider les arsenaux si peu garnis ? Lol aussi.

    Envoyer le matériel qui reste ? ça sera vite fait. Il y en a si peu.

    Envoyer des hommes ? Les mecs assez cons pour rien comprendre et être formatés sont déjà partis. Beaucoup sont morts.

    Diversion externe, avec une situation interne pourrie, il faut voir son «accueil» au salon agricole, et un Bredin, pardon Bruno Lemaire, qui fait des «Zéconomies», en sabrant tout et n’importe quoi ? Il veut quoi ? Le RN à 45% en juin ???

    Vu les quelques sondages existants, il est clair que la population n’est pas très chaude pour la guerre en Ukraine, surtout quand il s’agit d’y aller. On peut lever quelques milliers de mercenaires, et mal les armer, oui. On en trouvera toujours. La contre-offensive de Karkov, visiblement était menée par beaucoup de troupes noires. Pas de racisme, un mercenaire noir fait tout aussi bien compost et fumier qu’un blanc, qu’un basané ou qu’un indio colombien. C’est tout ce qu’on lui demande, de jouer le jeu du pigeon d’argile.

    En ce qui concerne l’occis-dent, je recommanderais la lecture du dernier bouquin de Todd, la Russie est une démocratie autoritaire, l’occis-dent, une oligarchie libérale. Mais sur ce point-là, Todd se trompe, elle n’est pas libérale. Va dire en Grande-Bretagne et aux USA qu’il n’existe que 2 sexes et tu verras si c’est libéral, après avoir été viré, licencié pour «propos de haine», et être ostracisé complétement. 

    De fait, la pensée dissidente aussi est battue en brêche en occis-dent. Un médecin m’a dit que plusieurs de ses confrères très actifs dans la pensée alternative était subitement décédés alors qu’ils étaient en très bonne santé.

    Au fait, d’après l’Ukraine, Navalny est mort de mort naturelle, encore un moment où de nombreux dirigeants de l’ouest collectif (dont le notre) n’ont pas pas manqué de passer pour des cons.

    https://reseauinternational.net/le-matamore-president/

     


    1 commentaire
  • Le désarroi d'un agriculteur du Cantal.

    À la tête d’une exploitation d’environ 130 bêtes dans le Cantal, l'agriculteur Cédric Viallemonteil nous fait part de ses terribles difficultés à lutter contre l’invasion de rats taupiers (campagnol terrestre) dans ses prairies. Il dénonce l’inertie du ministre de l’agriculture face à ce problème de nuisibles qui représente à la fois un enjeu économique et environnemental.  

    Le 13 février, l’éleveur a alerté sur son compte Twitter « sur ce sujet qui n’a pas l’air de tracasser grand monde ». « Monsieur le Ministre, on ne vous entend pas », a-t-il interpelé. 

    « Les vaches sont faites pour manger de l’herbe, pas de la terre » 

    C’est le cœur du problème que rencontrent les éleveurs du Cantal. L’herbe vient à manquer sur les terres de la région. Chaque jour, un rat taupier dévore son poids en racines, soit près de 200 grammes. M. Viallemonteil nous explique qu’il y a quelques années, dans ce département montagneux, les rats se concentraient plutôt sur les hauteurs. Mais aujourd’hui, ils sont descendus sur les communes plus basses et créent des ravages dans les pâturages.  

    « A la surface de nos prairies ce n’est plus que de la terre », témoigne-t-il. En manque de fourrage pour nourrir leurs vaches, les agriculteurs sont obligés d’acheter du foin, de la paille et des compléments alimentaires, ce qui représente une dépense additionnelle souvent insupportable pour la survie économique d’une exploitation laitière. « Certains sont obligés de vendre une partie de leur cheptel pour nourrir le reste du troupeau ! », dénonce l’éleveur bovin. Si en plus, le peu de fourrage récolté contient trop de terre et qu’une vache s’en nourrit, c’est la double peine. Il y a fort à parier que le lait de l’animal contiendra des spores butyriques (des bactéries naturellement présentes dans le sol). Or si ces germes sont détectés, le producteur est payé moins cher ! 

    Cédric Viallemonteil invite donc le gouvernement à trouver rapidement une solution à ce cercle infernal. « Moralement et financièrement ce n’est plus possible de tenir », alerte-t-il.

    « La seule solution c’est la stérilisation de l’espèce »  

    L’agriculteur du Cantal est en quête de solutions qui ne se limitent pas à faire périr les espèces nuisibles pour son activité. Il existait un poison efficace contre la pullulation du rongeur, le bromadiolone, mais il a été interdit en 2020. Il nous explique que le problème d’un poison comme celui-ci est que les prédateurs qui mangeaient les rats mourraient aussi, et « on ne veut pas faire n’importe quoi”. Pour l’instant, “ la seule solution c’est la stérilisation de l’espèce », déplore-t-il, « mais c’est aussi un traitement chimique ». 

    À la fin de notre entretien, M. Viallemonteil nous confie avoir été contacté par un chercheur du CNRS. Le travail de ce chercheur porte sur les campagnols terrestres et présenterait « des pistes intéressantes », selon l’agriculteur. Pourtant le projet est à l’arrêt. Pourquoi ? L'éleveur nous affirme que l’Etat aurait arrêté de le financer.  

    Situation qu’il dénonce dans une seconde vidéo publiée sur son compte Twitter le 15 février : « On a quelqu’un qui travaille sur le sujet, qui a des résultats, et aujourd’hui on ne veut plus le financer ». 

    clic sur le lien pour lire les vidéos, la seconde est édifiante!

    https://www.francesoir.fr/societe-economie-environnement/invasion-de-nuisibles-le-desarroi-d-un-agriculteur-du-cantal

     

     

     

     

     

     


    2 commentaires
  • L’un des "humanitaires français" morts en Ukraine serait un homme d’affaires, un "aventurier".

    Selon les sources de Sputnik Afrique, l’un des Français tués en Ukraine le 1er février est Adrien Baudon de Mony-Pajol. Il était un homme d’affaires et spécialiste vinicole, disposant d’un vaste réseau international, écrit Nicolas Cinquini.
    Une personne portant ce nom est réellement morte, comme l'indique un avis de décès publié le 2 février dans le média vinicole RVI. "Mon ami Adrien de Mony-Pajol s’en est allé, en aventurier, mais beaucoup trop tôt", selon cette publication.
    Adrien Baudon de Mony-Pajol, 41 ans, était un homme d’affaires et spécialiste vinicole, disposant d’un vaste réseau international, écrit Nicolas Cinquini, analyste en sécurité. L'homme travaillait pour l’ONG Entraide Protestante Suisse (EPER), active en Ukraine, selon la publication de RVI.
    Le deuxième homme serait un ancien légionnaire d’origine biélorusse. D’après Ouest-France, il était domicilié dans la ville de Calvi. Ce cinquantenaire, dont le prénom serait Guennadi, aurait assuré la direction des opérations de sécurité également de cette l’ONG et coordonné les opérations sur le terrain en Ukraine.
    D’après les autorités ukrainiennes, ils ont été tués à Beryslav, dans la région de Kherson en l'Ukraine. Trois autres personnes ont été blessées.
    Entraide Protestante Suisse (EPER) a pour sa part reconnu la mort de ses deux collaborateurs, sans donner plus de détails. Ces hommes, ainsi que d’autres membres de l’ONG, ont subi une attaque "durant une intervention humanitaire", selon cette organisation.
    Moscou a à plusieurs reprises rapporté la présence de mercenaires étrangers, dont français, en Ukraine. Ainsi, le 17 janvier la Défense russe avait indiqué avoir porté une frappe de précision sur un bâtiment à Kharkov qui avait abrité des mercenaires français. Plus de 60 hommes ont été tués et une vingtaine d’autres blessés.
     
    Quant on cherche sur net, le média viticole  RVI  et la phrase "mon ami Adrien s'en est allé en aventurier , mais beaucoup trop tôt", la page ou l'article n'existent plus...
     
    Humanitaire???
     
     
    Humanitaire???
     
    https://fr.sputniknews.africa/20240204/lun-des-humanitaires-francais-morts-en-ukraine-serait-un-homme-daffaires-un-aventurier-1064924048.html
     
    Adrien Baudon de Mony-Pajol, 41 ans, était un homme d’affaires et spécialiste vinicole, disposant d’un vaste réseau international, écrit Nicolas Cinquini, analyste en sécurité. L'homme travaillait pour l’ONG Entraide Protestante Suisse (EPER), active en Ukraine, selon la publication de RVI.
     
    https://pravda-fr.com/world/2024/02/04/66270.html
     
    https://pravda-fr.com/world/2024/02/04/66171.html
     
     
     
     

     

     


    1 commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires